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La marque Olympia Le-Tan lance sa première collection de NFTs

Publié par Doriane Dos Santos le - mis à jour à
La marque Olympia Le-Tan lance sa première collection de NFTs

La marque parisienne spécialisée dans les sacs à main à broderies, Olympia Le-Tan, s'associe à l'agence d'innovation EY Fabernovel pour plonger ses clients dans une nouvelle expérience immersive.

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Olympia Le-Tan, marque spécialisée dans la création de sacs à main aux broderies humoristiques et artistiques, s'associe à l'agence experte du conseil en transformation stratégique et de la création de produits et de services innovants, EY Fabernovel, pour lancer sa toute première collection de NFTs et ainsi plonger ses clients dans une expérience immersive à l'occasion du lancement de sa nouvelle collection de minaudières en collaboration avec la princesse María Olympía de Grèce.

« Pour continuer à enchanter l'expérience de nos clients, nous devons constamment réfléchir à de nouveaux territoires d'explorations qui apportent de la valeur à notre marque et viennent renforcer notre univers. Nous avons vu dans le Web3 l'opportunité de libérer notre créativité numérique pour proposer de nouvelles expériences immersives et de nouvelles façons de faire vivre cette relation avec nos clients », annonce Aude Sergent, Directrice générale d'Olympia Le-Tan.

Le Web3 au coeur de l'expérience client

« La marque a vite compris que le Web3 entrait davantage dans l'état d'esprit et l'univers artistique de la marque, mais que, derrière son apparente simplicité, se cachait une certaine complexité. La phase d'acculturation a donc été la première étape, avant de se lancer dans l'exploration et le test grandeur nature, pour comprendre les usages, les technologies et les modes d'opérations du Web3 qui diffèrent des modèles traditionnels », déclare Arthur de La Brunière, Analyste Web3 chez EY Fabernovel.

Dans cette optique, Olympia Le-Tan a décidé de se prêter au jeu et d'innover en faisant ses premiers pas dans le Web3 au travers de la conception de 79 NFTs pour chacune des neuf pochettes de la nouvelle collection de minaudières, soit 711 au total. Ces NFTs permettent à la marque d'offrir une expérience immersive au-delà du réel tout en faisant découvrir à ses clients, ces nouveaux usages numériques.

« Toute la création artistique de ces NFTs a été pensée pour faire ressortir le travail incroyable de ces broderies artisanales. Nous avons voulu valoriser ces oeuvres d'art en leur faisant prendre vie dans le numérique. C'est une façon de prolonger l'expérience de l'objet réel avec une version animée », explique Marine Chatras, directrice artistique chez EY Fabernovel.

Des NFTs brodés par des artisans du numérique

Pour mener à bien ce projet d'innovation dans le Web3, la marque s'est associée à EY Fabernovel et à ses artisans du numérique qui ont apporté des expertises à la fois stratégiques, techniques et juridiques.

« Nous avons fait le choix de développer ces NFTs sur la technologie blockchain Polygon, qui est aujourd'hui moins consommatrice d'énergie en comparaison à d'autres, depuis que Ethereum a réussi sa transition en Proof of Stake », a précisé Arthur de la Brunière.

Pour ses premiers NFTs, Olympia Le-Tan a opté pour la technologie du QR Code en impression sur les étiquettes des pochettes, qui donne la possibilité en un seul scan de son téléphone de se connecter à un site didactique et pratique pour savoir comment utiliser et profiter de son NFT.

« On aurait pu très bien imaginer une loterie de NFTs pour que la communauté Web3 découvre nos produits et l'univers de la marque, mais nous avons décidé de les imaginer pour nos clients. Ces NFTs représentent à la fois une expérience immersive et une opportunité de développer nos liens avec eux. Demain, à mesure que notre communauté grandira dans le Web3, nous pourrons tout à fait imaginer d'en étendre les usages... en créant une appartenance à club avec des nouveautés et des événements exclusifs, par exemple, voire concevoir des objets numériques uniques qui trouveront écho dans les communautés culturelles et d'art numérique », conclut Aude Sergent.

 
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