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Viavoice et Syntec se penchent sur l'impact des "fake news" sur la réputation des entreprises

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Viavoice et Syntec se penchent sur l'impact des 'fake news' sur la réputation des entreprises

L'étude réalisée par Viavoice pour Syntec Conseil en relations publiques montre que les entreprises sont directement concernées par l'enjeu des "fake news" et que les Français, en tant que citoyens ou consommateurs, en sont conscients.

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Les fake news, ce sont aussi des (fausses) information circulant sur les marques, les entreprises ou leurs dirigeants. L'étude réalisée par Viavoice pour Syntec Conseil en relations publiques montre que celles-ci sont directement concernées par ces enjeux ; et que les Français eux-mêmes - en tant que citoyens ou en tant que consommateurs - en sont tout à fait conscients. Ils sont en effet 89% à considérer que les rumeurs et fausses informations peuvent avoir un impact important sur la réputation d'une entreprise.

Pourtant, un grand nombre reconnaît être vecteur de ces "fake news": 20% des personnes interrogées (32% des 18-24 ans) ont déjà fait confiance à une information sur une entreprise ou une institution relayée par des media ou des réseaux sociaux et avoir découvert par la suite qu'elle s'avérait inexacte. Et un quart des Franc?ais (26 %) déclare avoir de?ja` relayé aupre`s de ses proches de fausses informations.

Des chiffres qui s'expliquent pour les auteurs de l'étude par "l'évolution des usages médiatiques: alors que près de la moitié des Franc?ais (46 %) déclare utiliser très souvent ou assez souvent les réseaux sociaux, ils sont également 49 % à avoir de?ja` été confrontés personnellement à des rumeurs sur les réseaux sociaux, loin devant tous les autres types de média".

Néanmoins, pour le grand public, les acteurs les plus exposés aux fake news sont les personnalités politiques (64%), artistiques ou sportives (53%), devant les entreprises et leurs dirigeants (14%). Pour autant, "une entreprise aura parfois du mal à communiquer en faisant en sorte que son démenti soit aussi visible que la rumeur initiale". Autant de questions qui plaident pour une prise de conscience de l'enjeu pour les entreprises et les marques dans les années à venir.

 
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