Les membres du Raffut font appel aux étudiants du Master de marketing et stratégie de Dauphine

Il y a un an, treize patrons d’agences événementielles initiaient une vraie démarche de communication autour de leur métier avec Le Raffut, ce prix OVNI dans le monde de la communication, dont la cérémonie de remise a réuni plus de 4 500 personnes l’année dernière, et qui sera à nouveau remis le 26 juin 2012.

À l’heure où les agences d’événements grand public et de communication par l’idée attirent plus de jeunes diplômés que les agences de publicité classiques, les étudiants de Dauphine prendront part à cette seconde édition. « Alors que le succès de la première édition est venu confirmer l’intérêt de notre démarche, l’idée d’impliquer des étudiants qui se préparent à faire l’événement de demain m’a parue évidente », indique Jacques-Olivier Broner, président du Raffut 2012 et fondateur de l’agence Rouge.

Étudiants et professionnels, réunis pour réfléchir

Chaque dirigeant d’agence va "tuteurer" un groupe d’étudiants dans le cadre de leur mémoire, et ces derniers interviendront également directement sur la seconde édition du prix. Pour Eva Delacroix, enseignant le marketing & communication à Dauphine et dirigeant le Master 2 communication marketing Intégrée, « L’objectif est de concilier une approche théorique avec un projet très opérationnel comme le Raffut. C’est une très belle opportunité pour les étudiants de travailler sur des cas réels, et de rencontrer des acteurs de la communication de surcroît. Je suis certaine que leur participation à ce projet, outre l'aspect purement pédagogique, sera une expérience marquante dans leurs études. Il nous plaît aussi d’imaginer que certains binômes étudiants/tuteur poursuivront leur relation au-delà du projet le Raffut, un peu sur la base d'un système de parrainage. »  « L’objet du Raffut est de prendre la parole sur le métier, notamment en donnant de l’écho à des conceptions et des visions multiples. Aussi, partager et échanger en invitant les étudiants qui réfléchissent sur les questions qui nous animent et nous réunissent prend tout son sens », précise Jacques Olivier Broner.